Tous les articles

Etudes de cas de projets immobiliers réussis en Afrique

🇫🇷

Études de cas de projets immobiliers réussis en Afrique centrale

Le secteur immobilier en Afrique centrale a connu une croissance significative au cours des dernières décennies, alimentée par l’urbanisation rapide, la croissance démographique et les investissements tant nationaux qu’internationaux. Cette expansion a été accompagnée par la réalisation de projets immobiliers ambitieux qui ont façonné le paysage urbain de la région et contribué au développement économique local. Analyser les facteurs de succès des projets immobiliers en Afrique centrale, en tenant compte des contextes économiques, politiques, sociaux et environnementaux spécifiques à la région, offre une opportunité unique d’examiner de manière détaillée les dynamiques, les défis et les facteurs de succès spécifiques à chaque projet, permettant ainsi d’extraire des leçons précieuses et des bonnes pratiques pour le développement futur du secteur.

Ce secteur est façonné par une combinaison de facteurs économiques, politiques, sociaux et environnementaux qui influencent la demande de logements, de bureaux et d’infrastructures commerciales. La sélection des études de cas repose sur des critères spécifiques, notamment la reconnaissance des projets pour leur succès, leur pertinence dans le contexte régional, et leur représentativité des différents pays en Afrique centrale tels qu’en République Démocratique du Congo, au Rwanda, au Cameroun et au Nigeria. Les études de cas couvrent une gamme variée de types de projets, y compris des complexes résidentiels de luxe, des centres commerciaux et de bureaux modernes, ainsi que des villes nouvelles. Cette diversité permet d’explorer les différentes facettes du secteur immobilier, des besoins en logements à ceux des entreprises.

Les projets immobiliers réussis en Afrique centrale sont souvent le résultat de plusieurs facteurs clés qui contribuent à leur conception, leur mise en œuvre et leur impact positif sur leur environnement. Ces facteurs peuvent être regroupés en plusieurs catégories importantes : une vision stratégique et planification efficace avec gestion des risques, un financement adéquat, des partenariats stratégiques et collaborations efficaces, une conception innovante et durabilité environnementale, enfin un engagement actif avec les communautés locales.

En République Démocratique du Congo (RDC), la Cité du Fleuve, projet emblématique situé à la capitale Kinshasa avec une population dépassant les 15 millions d’habitants, représente une entreprise immobilière ambitieuse qui a transformé le paysage urbain de la région. Lancé en 2010 par un consortium d’entreprises comprenant la société de développement immobilier “Fleuve Congo”, avec un investissement initial de plus de 1 milliard de dollars, ce projet s’étend sur une superficie de 200 hectares le long du majestueux fleuve Congo, en partenariat avec des investisseurs nationaux et internationaux, qui ont permis de mobiliser les financements nécessaires à la réalisation du projet. Cependant, des défis significatifs ont été rencontrés, notamment en ce qui concerne la gestion des infrastructures de base, telle que l’accès à l’eau potable et à l’électricité, ainsi que la résolution des problèmes liés à la réglementation foncière et à la sécurité. En offrant des logements de qualité, des bureaux modernes et des installations commerciales, ce projet a contribué à l’amélioration du niveau de vie des habitants et à la création d’emplois locaux.

Kigali Heights est un projet immobilier situé au cœur de Kigali, la capitale du Rwanda, qui a été lancé en 2014 par le groupe d’investissement rwandais “Ultimate Developers Ltd” en partenariat avec des investisseurs internationaux. Ce projet, représentant un investissement initial de plus de 300 millions de dollars, s’étend sur une superficie de 72 000 mètres carrés, comprenant des bureaux, des commerces de détail et des espaces de loisirs. La réalisation de Kigali Heights intervient dans un contexte de développement économique soutenu au Rwanda, avec un taux de croissance annuel moyen de plus de 7 % au cours des dernières années. La croissance rapide de la population urbaine de Kigali, dépassant les 1,5 million d’habitants, a créé une demande croissante de bureaux modernes et d’infrastructures commerciales de qualité, ce à quoi Kigali Heights répond de manière significative. Parmi les facteurs de succès clés de Kigali Heights, on compte une conception architecturale moderne et fonctionnelle, offrant des espaces de travail et de commerce attractifs aux entreprises et aux commerçants. De plus, le projet a bénéficié d’un environnement économique stable et propice aux investissements au Rwanda, soutenu par des politiques favorables aux entreprises et à l’investissement. Cependant, des défis ont été rencontrés, notamment en ce qui concerne la gestion des coûts de construction et la concurrence accrue sur le marché immobilier de Kigali.

La Palmeraie, un projet immobilier d’envergure situé à Douala, la plus grande ville du Cameroun, a été initié en 2012 par la société de développement “Société Immobilière du Cameroun (SIC)” en partenariat avec des investisseurs locaux et internationaux. Avec un investissement initial estimé à plus de 150 millions de dollars, ce projet s’étend sur une superficie de 180 hectares, comprenant des résidences de luxe, des espaces commerciaux et des infrastructures de loisirs. La réalisation de La Palmeraie intervient dans un contexte de croissance économique soutenue au Cameroun, avec un taux de croissance annuel moyen de près de 4 % au cours des dernières années. On compte une conception résidentielle haut de gamme, intégrant des équipements modernes et des espaces verts, attirant ainsi une clientèle aisée et exigeante. De plus, le projet a bénéficié du soutien des autorités locales et d’un environnement réglementaire favorable à l’investissement immobilier au Cameroun. Cependant, des défis ont été rencontrés, notamment en ce qui concerne la gestion des délais de construction et la coordination des différents acteurs impliqués dans le projet.

Centenary City, un projet immobilier d’envergure situé à Abuja, la capitale du Nigeria, a été lancé en 2014 par le groupe d’investissement nigérian “Centenary City Plc” en partenariat avec des investisseurs nationaux et étrangers. Avec un investissement initial de plus de 1 milliard de dollars, ce projet s’étend sur une superficie de 1 000 hectares, comprenant des résidences de luxe, des centres d’affaires, des espaces de loisirs et des installations de santé. La réalisation de Centenary City intervient dans un contexte de croissance économique rapide au Nigeria, avec un taux de croissance annuel moyen de plus de 6 % au cours des dernières années. Parmi les facteurs de succès clés de Centenary City, on compte une vision ambitieuse de développement urbain, intégrant des normes internationales en matière d’urbanisme et de design. De plus, le projet a bénéficié du soutien du gouvernement nigérian et d’incitations fiscales pour les investisseurs, favorisant ainsi la mobilisation des financements nécessaires. Cependant, des défis ont été rencontrés, notamment en ce qui concerne la gestion des permis de construire et la résolution des conflits fonciers.

Les quatre études de cas présentent des similitudes dans leur ambition de développer des projets immobiliers de grande envergure dans des villes dynamiques d’Afrique. Tous les projets visent à répondre à une demande croissante de logements, de bureaux et d’infrastructures commerciales de qualité. Cependant, chaque projet se distingue par sa localisation géographique, son échelle, son investissement initial et sa conception architecturale. Par exemple, tandis que la Cité du Fleuve et La Palmeraie se concentrent sur des projets résidentiels haut de gamme, Kigali Heights intègre des espaces commerciaux et de loisirs, et Centenary City vise à créer une ville nouvelle avec une gamme complète de services et d’infrastructures. Malgré leurs différences, les études de cas révèlent plusieurs leçons apprises et bonnes pratiques qui peuvent être extrapolées pour le développement futur du secteur immobilier en Afrique centrale. De plus, l’implication des autorités locales et le soutien gouvernemental ont été des facteurs clés de succès dans plusieurs cas.

 

Pour les praticiens du secteur immobilier, les leçons apprises mettent en évidence l’importance d’une vision stratégique claire, d’une planification urbaine inclusive, de partenariats solides avec des investisseurs et d’une conception innovante et durable. La collaboration étroite avec les autorités locales et le respect des réglementations en vigueur sont également essentiels pour assurer le succès des projets. Pour les décideurs politiques, les implications de l’analyse soulignent l’importance de mettre en place un environnement réglementaire et politique favorable à l’investissement immobilier, avec des incitations fiscales et des mesures de soutien appropriées. Ils doivent également promouvoir la transparence, la bonne gouvernance et l’efficacité administrative pour faciliter la réalisation des projets immobiliers et attirer les investissements nécessaires. Pour les investisseurs, les études de cas offrent des insights précieux pour évaluer les opportunités d’investissement dans le secteur immobilier en Afrique centrale. Ils doivent prendre en compte les facteurs de succès et les risques potentiels associés à chaque projet, en accordant une attention particulière à la qualité de la conception, à la gestion des risques et à l’engagement communautaire. La diversification des portefeuilles d’investissement et la recherche de partenariats stratégiques peuvent également renforcer les chances de succès dans un marché en évolution rapide.

 

En conclusion, l’analyse des études de cas des projets immobiliers réussis en Afrique centrale offre des recommandations précieuses pour orienter les actions futures des praticiens, des décideurs politiques et des investisseurs. En s’appuyant sur les leçons apprises et en adoptant des pratiques exemplaires, il est possible de stimuler davantage le développement du secteur immobilier dans la région, contribuant ainsi à une croissance économique durable et à l’amélioration de la qualité de vie des populations locales. Les chiffres révèlent une tendance positive en matière d’investissements dans des projets immobiliers d’envergure, avec des investissements initiaux allant jusqu’à 1 milliard de dollars, couvrant des superficies jusqu’à 1 000 hectares, et contribuant à la création d’emplois et au développement économique des régions concernées.

 

 

L’équipe Mac-Valuation

1. Mbanzoulou, J., & Nkiere, P. (2019). “Analyse des facteurs de succès des projets immobiliers en Afrique : cas de la République Démocratique du Congo”. Revue Internationale de Gestion et d’Économie, 5(1), 35-50.

2. Niyonzima, F., & Uwizeyimana, V. (2020). “Impact des projets immobiliers sur le développement urbain durable : cas de Kigali Heights au Rwanda”. Journal Africain de Recherche en Management, 2(3), 78-92.

3. Kamdem, R., & Tchouassi, A. (2018). “Étude de cas : La Palmeraie, une initiative immobilière novatrice au Cameroun”. Bulletin d’Analyse Économique, 12(2), 105-120.

4. Ogunlana, O., & Adeyemi, K. (2017). “Risks and mitigation strategies in real estate development projects in Nigeria”. Journal of Construction Engineering and Management, 143(11), 04017071.

5. Banjo, A., & Suleiman, H. (2019). “Challenges and Opportunities of Real Estate Investment in Africa: A Review of the Nigerian Real Estate Market”. Journal of African Real Estate Research, 7(1), 26-40.

6. Organisation des Nations Unies pour l’Habitat (ONU-Habitat). (2018). “Urbanisation et développement en Afrique : défis et opportunités”. Nairobi, Kenya : ONU-Habitat.

https://www.hsrcpress.ac.za/

https://unhabitat.org/

🇬🇧

Case Studies of Successful Real Estate Projects in Central Africa


The real estate sector in Central Africa has experienced significant growth over the past decades, driven by rapid urbanization, population growth, and both national and international investments. This expansion has been accompanied by ambitious real estate projects that have shaped the urban landscape of the region and contributed to local economic development. Analyzing the success factors of real estate projects in Central Africa, considering the specific economic, political, social, and environmental contexts of the region, offers a unique opportunity to examine in detail the dynamics, challenges, and success factors specific to each project, thereby extracting valuable lessons and best practices for the future development of the sector.

This sector is shaped by a combination of economic, political, social, and environmental factors that influence the demand for housing, offices, and commercial infrastructures. The selection of case studies is based on specific criteria, including the recognition of projects for their success, their relevance in the regional context, and their representativeness of different countries in Central Africa such as the Democratic Republic of Congo, Rwanda, Cameroon, and Nigeria. The case studies cover a wide range of project types, including luxury residential complexes, modern shopping and office centers, as well as new towns. This diversity allows for the exploration of various aspects of the real estate sector, from housing needs to those of businesses.

Successful real estate projects in Central Africa are often the result of several key factors that contribute to their design, implementation, and positive impact on their environment. These factors can be grouped into several important categories: strategic vision and effective planning with risk management, adequate financing, strategic partnerships and effective collaborations, innovative design and environmental sustainability, and active engagement with local communities.

In the Democratic Republic of Congo (DRC), the Cité du Fleuve, an iconic project located in the capital Kinshasa with a population exceeding 15 million, represents an ambitious real estate enterprise that has transformed the urban landscape of the region. Launched in 2010 by a consortium of companies including the real estate development company “Fleuve Congo,” with an initial investment of over 1 billion dollars, this project covers an area of 200 hectares along the majestic Congo River, in partnership with national and international investors who enabled the mobilization of the necessary financing for the project’s realization. However, significant challenges were encountered, particularly regarding the management of basic infrastructures such as access to drinking water and electricity, as well as addressing issues related to land regulation and security. By offering quality housing, modern offices, and commercial facilities, this project has contributed to improving the living standards of residents and creating local jobs.

Kigali Heights is a real estate project located in the heart of Kigali, the capital of Rwanda, launched in 2014 by the Rwandan investment group “Ultimate Developers Ltd” in partnership with international investors. This project, representing an initial investment of over 300 million dollars, covers an area of 72,000 square meters, including offices, retail spaces, and leisure facilities. The realization of Kigali Heights comes in the context of sustained economic development in Rwanda, with an average annual growth rate of over 7% in recent years. The rapid growth of Kigali’s urban population, exceeding 1.5 million, has created a growing demand for modern offices and quality commercial infrastructures, to which Kigali Heights significantly responds. Among the key success factors of Kigali Heights are modern and functional architectural design, offering attractive work and commercial spaces for businesses and retailers. Additionally, the project benefited from a stable and investment-friendly economic environment in Rwanda, supported by business and investment-friendly policies. However, challenges were encountered, particularly regarding the management of construction costs and the increased competition in Kigali’s real estate market.

La Palmeraie, a major real estate project located in Douala, the largest city in Cameroon, was initiated in 2012 by the development company “Société Immobilière du Cameroun (SIC)” in partnership with local and international investors. With an initial investment estimated at over 150 million dollars, this project spans an area of 180 hectares, including luxury residences, commercial spaces, and leisure infrastructures. The realization of La Palmeraie comes in the context of sustained economic growth in Cameroon, with an average annual growth rate of nearly 4% in recent years. It includes a high-end residential design, integrating modern amenities and green spaces, thus attracting an affluent and demanding clientele. Additionally, the project benefited from the support of local authorities and a favorable regulatory environment for real estate investment in Cameroon. However, challenges were encountered, particularly concerning the management of construction timelines and the coordination of different actors involved in the project.

Centenary City, a major real estate project located in Abuja, the capital of Nigeria, was launched in 2014 by the Nigerian investment group “Centenary City Plc” in partnership with national and foreign investors. With an initial investment of over 1 billion dollars, this project covers an area of 1,000 hectares, including luxury residences, business centers, leisure spaces, and healthcare facilities. The realization of Centenary City comes in the context of rapid economic growth in Nigeria, with an average annual growth rate of over 6% in recent years. Among the key success factors of Centenary City are an ambitious urban development vision, integrating international standards in urban planning and design. Additionally, the project benefited from the support of the Nigerian government and tax incentives for investors, thereby facilitating the mobilization of necessary financing. However, challenges were encountered, particularly regarding the management of building permits and the resolution of land conflicts.

The four case studies present similarities in their ambition to develop large-scale real estate projects in dynamic cities in Africa. All projects aim to meet a growing demand for quality housing, offices, and commercial infrastructures. However, each project is distinguished by its geographical location, scale, initial investment, and architectural design. For example, while Cité du Fleuve and La Palmeraie focus on high-end residential projects, Kigali Heights integrates commercial and leisure spaces, and Centenary City aims to create a new city with a full range of services and infrastructures. Despite their differences, the case studies reveal several lessons learned and best practices that can be extrapolated for the future development of the real estate sector in Central Africa. Additionally, the involvement of local authorities and government support have been key success factors in several cases.

For real estate practitioners, the lessons learned highlight the importance of a clear strategic vision, inclusive urban planning, strong partnerships with investors, and innovative and sustainable design. Close collaboration with local authorities and adherence to existing regulations are also essential to ensure project success. For policymakers, the implications of the analysis emphasize the importance of creating a favorable regulatory and political environment for real estate investment, with appropriate tax incentives and support measures. They must also promote transparency, good governance, and administrative efficiency to facilitate the realization of real estate projects and attract the necessary investments. For investors, the case studies offer valuable insights to assess investment opportunities in the real estate sector in Central Africa. They must consider the success factors and potential risks associated with each project, paying particular attention to design quality, risk management, and community engagement. Diversifying investment portfolios and seeking strategic partnerships can also enhance the chances of success in a rapidly evolving market.

In conclusion, the analysis of the case studies of successful real estate projects in Central Africa offers valuable recommendations to guide future actions of practitioners, policymakers, and investors. By building on the lessons learned and adopting best practices, it is possible to further stimulate the development of the real estate sector in the region, thereby contributing to sustainable economic growth and improved quality of life for local populations. The figures reveal a positive trend in investments in large-scale real estate projects, with initial investments reaching up to 1 billion dollars, covering areas up to 1,000 hectares, and contributing to job creation and economic development in the regions concerned.

The Mac-Valuation Team



  1. Mbanzoulou, J., & Nkiere, P. (2019). “Analysis of Success Factors of Real Estate Projects in Africa: Case of the Democratic Republic of Congo”. International Journal of Management and Economics, 5(1), 35-50.

  2. Niyonzima, F., & Uwizeyimana, V. (2020). “Impact of Real Estate Projects on Sustainable Urban Development: Case of Kigali Heights in Rwanda”. African Journal of Management Research, 2(3), 78-92.

  3. Kamdem, R., & Tchouassi, A. (2018). “Case Study: La Palmeraie, an Innovative Real Estate Initiative in Cameroon”. Economic Analysis Bulletin, 12(2), 105-120.

  4. Ogunlana, O., & Adeyemi, K. (2017). “Risks and Mitigation Strategies in Real Estate Development Projects in Nigeria”. Journal of Construction Engineering and Management, 143(11), 04017071.

  5. Banjo, A., & Suleiman, H. (2019). “Challenges and Opportunities of Real Estate Investment in Africa: A Review of the Nigerian Real Estate Market”. Journal of African Real Estate Research, 7(1), 26-40.

  6. United Nations Human Settlements Programme (UN-Habitat). (2018). “Urbanization and Development in Africa: Challenges and Opportunities”. Nairobi, Kenya: UN-Habitat.

https://www.hsrcpress.ac.za/

https://unhabitat.org/

 

Durabilité immobilière : l’avenir de l’immobilier en Afrique centrale

🇫🇷
Durabilité immobilière : l’avenir de l’immobilier en Afrique centrale.
L’Afrique, L’immobilier durable est porteur d’un nouvel espoir écologique, marquant l’avenir en Afrique centrale. La monétisation des écosystèmes naturels attire des investissements durables,
surtout dans un contexte d’urbanisation rapide en Afrique. Près de 25 % de la population mondiale, soit environ 25 milliards d’individus, s’installeront sur le continent d’ici 2050, créant une demande massive de logements et une opportunité d’investissement considérable.

La montée de l’urbanisation, à la fois sur les plans socio-économiques et environnementaux, est cruciale. Les investisseurs reconnaissent le potentiel de croissance en Afrique, en particulier en Afrique centrale, pour le secteur immobilier. Face à cette évolution, les acteurs immobiliers doivent considérer l’impact environnemental : la construction représente environ 23 % des émissions mondiales de CO2 et 40 % de la consommation d’énergie. L’adoption de matériaux durables et à faible émission de carbone devient donc essentielle.

L’économie en Afrique centrale reste largement dépendante des énergies fossiles. Le développement de l’immobilier durable doit s’inscrire dans ce contexte, visant à réduire la dépendance aux énergies fossiles et à favoriser les sources d’énergie moins polluantes. L’intégration de solutions énergétiques renouvelables et écologiques est une priorité. Les investisseurs immobiliers doivent ajuster leurs perceptions pour voir la durabilité comme une opportunité. L’immobilier durable en Afrique offre de multiples avantages, notamment la réduction des coûts d’exploitation à long terme par la diminution des besoins en énergie et en eau, ressources précieuses sur le continent.
Enfin, les projets immobiliers durables peuvent générer des emplois. Selon l’Organisation Internationale du Travail (OIT), la construction verte pourrait créer jusqu’à 7,5 millions d’emplois supplémentaires à l’échelle mondiale.
La durabilité est donc un facteur clé pour bâtir une Afrique prospère et assurer un avenir durable pour les générations futures.
En somme, l’immobilier durable en Afrique centrale ne représente pas seulement un impératif environnemental, mais également une opportunité économique majeure. En embrassant les principes de durabilité, le secteur immobilier peut jouer un rôle central dans
la transition vers une économie plus verte et résiliente. Cela permet non seulement de protéger l’environnement, mais aussi de stimuler l’économie locale, de créer des emplois et d’améliorer la qualité de vie sur le continent. L’immobilier durable est ainsi une clé essentielle pour façonner une Afrique centrale prospère, responsable et durable, garantissant un avenir meilleur pour tous ses habitants.
L’équipe Mac-Valuation
🇬🇧

Sustainable Real Estate: The Future of Real Estate in Central Africa.

Sustainable real estate is bringing new ecological hope, shaping the future in Central Africa. The monetization of natural ecosystems is attracting sustainable investments, especially in the context of rapid urbanization in Africa. By 2050, about 25% of the world’s population, approximately 25 billion individuals, will settle on the continent, creating a massive demand for housing and a significant investment opportunity.

The rise of urbanization, both socio-economically and environmentally, is crucial. Investors recognize the growth potential in Africa, particularly in Central Africa, for the real estate sector. Given this development, real estate players must consider the environmental impact: construction accounts for about 23% of global CO2 emissions and 40% of energy consumption. Therefore, adopting sustainable and low-carbon emission materials becomes essential.

The economy in Central Africa remains largely dependent on fossil fuels. Sustainable real estate development must fit into this context, aiming to reduce dependence on fossil fuels and promote less polluting energy sources. Integrating renewable and ecological energy solutions is a priority. Real estate investors need to adjust their perceptions to see sustainability as an opportunity. Sustainable real estate in Africa offers multiple benefits, including long-term operational cost reduction by decreasing energy and water needs, precious resources on the continent.

Furthermore, sustainable real estate projects can generate jobs. According to the International Labour Organization (ILO), green construction could create up to 7.5 million additional jobs worldwide. Thus, sustainability is a key factor in building a prosperous Africa and ensuring a sustainable future for the next generations.

In summary, sustainable real estate in Central Africa is not only an environmental imperative but also a major economic opportunity. By embracing sustainability principles, the real estate sector can play a central role in transitioning to a greener and more resilient economy. This not only helps protect the environment but also boosts the local economy, creates jobs, and improves the quality of life on the continent. Sustainable real estate is thus a crucial key to shaping a prosperous, responsible, and sustainable Central Africa, ensuring a better future for all its inhabitants.

The Mac-Valuation Team

 

 

La Gestion des Risques dans l’Expertise Immobilière Africaine

🇫🇷
La Gestion des Risques dans l’Expertise Immobilière Africaine : naviguer dans la complexité.
L’Afrique, La gestion des risques dans l’expertise immobilière en Afrique est cruciale pour assurer la fiabilité des évaluations et des transactions immobilières. L’expertise immobilière, essentielle pour évaluer la valeur des biens et soutenir le développement économique, se heurte à plusieurs défis.

L’Afrique, avec ses nombreux pays, présente une diversité de lois et réglementations immobilières. Cette variété crée des défis pour les experts immobiliers qui doivent naviguer dans un paysage réglementaire complexe. De plus, la mise en application de ces réglementations est souvent laxiste, ouvrant la porte à des pratiques douteuses. La corruption, un problème persistant dans de nombreuses régions africaines, peut influencer les évaluations immobilières. Des pots-de-vin peuvent fausser la valeur réelle des biens, trompant acheteurs, vendeurs et investisseurs. Le manque de transparence dans les transactions immobilières exacerbe ce problème.

En Afrique centrale, les changements climatiques affectent significativement l’immobilier. Inondations, sécheresses et autres phénomènes naturels peuvent endommager les propriétés et réduire leur valeur. Les experts immobiliers doivent considérer ces facteurs pour des évaluations précises. De plus, l’instabilité économique peut impacter
considérablement la valeur immobilière.
Pour gérer ces risques, il est essentiel de veiller à ce que les experts immobiliers soient bien formés et accrédités, utilisent des données fiables, soient soumis à des audits et à des contrôles de qualité, et respectent des normes éthiques strictes. La transparence dans les transactions immobilières est aussi cruciale pour réduire les risques de corruption. En adoptant ces pratiques, l’industrie immobilière africaine peut renforcer la confiance des investisseurs et contribuer au développement durable du continent.

En conclusion, l’expertise immobilière en Afrique joue un rôle fondamental dans le maintien de l’intégrité et de la viabilité du marché immobilier. Face aux défis posés par les diverses réglementations, la corruption, les impacts environnementaux et l’instabilité économique, il est impératif d’adopter une approche rigoureuse et éthique. En assurant une formation
adéquate, une accréditation rigoureuse, et en s’engageant pour la transparence et l’application stricte des normes éthiques, les experts immobiliers peuvent non seulement améliorer la qualité et la fiabilité des évaluations immobilières, mais aussi renforcer la confiance des acteurs du marché. Cela contribuera à une croissance saine et durable du
secteur immobilier en Afrique, ce qui est essentiel pour stimuler le développement économique global du continent. Ainsi, l’expertise immobilière ne se limite pas à une simple évaluation de propriété, mais devient un moteur de progrès et de stabilité pour l’Afrique dans son ensemble.
L’équipe Mac-Valuation

🇬🇧

Risk Management in African Real Estate Expertise: Navigating Complexity.

Risk management in real estate expertise in Africa is crucial to ensure the reliability of property valuations and transactions. Real estate expertise, essential for assessing property value and supporting economic development, faces several challenges.

Africa, with its numerous countries, presents a diversity of real estate laws and regulations. This variety creates challenges for real estate experts who must navigate a complex regulatory landscape. Additionally, the enforcement of these regulations is often lax, opening the door to dubious practices. Corruption, a persistent problem in many African regions, can influence real estate valuations. Bribes can distort the actual value of properties, deceiving buyers, sellers, and investors. The lack of transparency in real estate transactions exacerbates this issue.

In Central Africa, climate change significantly affects real estate. Floods, droughts, and other natural phenomena can damage properties and reduce their value. Real estate experts must consider these factors for accurate evaluations. Furthermore, economic instability can significantly impact property values.

To manage these risks, it is essential to ensure that real estate experts are well-trained and accredited, use reliable data, are subject to audits and quality controls, and adhere to strict ethical standards. Transparency in real estate transactions is also crucial to reduce corruption risks. By adopting these practices, the African real estate industry can strengthen investor confidence and contribute to the continent’s sustainable development.

In conclusion, real estate expertise in Africa plays a fundamental role in maintaining the integrity and viability of the property market. Faced with challenges posed by diverse regulations, corruption, environmental impacts, and economic instability, it is imperative to adopt a rigorous and ethical approach. By ensuring adequate training, stringent accreditation, and commitment to transparency and strict ethical standards, real estate experts can not only improve the quality and reliability of property valuations but also strengthen market confidence. This will contribute to healthy and sustainable growth of the real estate sector in Africa, essential for stimulating the continent’s overall economic development. Thus, real estate expertise is not just a simple property assessment but becomes a driver of progress and stability for Africa as a whole.

The Mac-Valuation Team

 

 

Fondement du Financement Immobilier en Afrique : l’expertise immobilière.

🇫🇷
Fondement du Financement Immobilier en Afrique : l’expertise immobilière.
L’Afrique, un continent en pleine expansion économique, devient un terrain fertile pour l’essor immobilier. La demande croissante de financement immobilier est essentielle pour soutenir le développement urbain, l’industrialisation et la croissance des entreprises.
Toutefois, un manque d’expertise immobilière peut entraver le processus de financement, représentant un risque pour les prêteurs et les investisseurs.
L’expertise immobilière joue un rôle clé dans l’évaluation précise des biens immobiliers. Des professionnels bien formés, en prenant en compte les prix du marché, les tendances, les caractéristiques des biens et les aspects juridiques, permettent aux investisseurs de prendre des décisions éclairées et de minimiser les risques de surestimation ou de sous-estimation.
Le financement immobilier en Afrique, avec ses risques spécifiques, nécessite une analyse approfondie du marché et des projets immobiliers. Cette analyse aide les prêteurs et les investisseurs à comprendre les nuances du marché, les contraintes légales et réglementaires, ainsi que les éventuelles perturbations économiques ou politiques.
Une expertise immobilière fiable offre une sécurité supplémentaire pour les prêteurs et les investisseurs. Avec une évaluation précise du bien immobilier, les prêteurs peuvent évaluer les risques et proposer des prêts adaptés. Les investisseurs, eux, s’appuient sur l’analyse et les conseils des experts pour prendre des décisions informées. Cette sécurité renforce la confiance des acteurs financiers et favorise le développement du financement immobilier en Afrique.
L’expertise immobilière contribue également à promouvoir la transparence et la confiance dans le secteur immobilier africain. En fournissant des évaluations objectives et indépendantes, les experts immobiliers établissent des normes pour l’ensemble de l’industrie, renforçant la confiance des investisseurs, des prêteurs et des autres parties
prenantes. Ceci est essentiel pour stimuler l’investissement et un financement immobilier durable en Afrique.
Jouant un rôle crucial dans le financement immobilier en Afrique, l’expertise immobilière permet une évaluation précise des biens. Investir dans la formation des experts immobiliers en Afrique et promouvoir leur rôle dans le processus de financement est indispensable pour
stimuler la croissance économique et le développement durable du continent.
En conclusion, l’expertise immobilière est un pilier central du financement immobilier en Afrique, un continent en plein essor économique. La qualité et la fiabilité des évaluations immobilières, assurées par des professionnels compétents et bien formés, sont cruciales pour la prise de décision des investisseurs et des prêteurs. Ces évaluations précises et
transparentes sont indispensables pour naviguer avec succès dans un marché en pleine mutation, marqué par des défis uniques et des opportunités grandissantes. En investissant dans le développement et la reconnaissance de l’expertise immobilière en Afrique, nous
pouvons non seulement assurer la stabilité et la croissance du marché immobilier, mais également contribuer de manière significative au développement économique global du continent. L’avenir de l’immobilier africain dépend en grande partie de la capacité à former et
à valoriser les compétences des experts immobiliers, garantissant ainsi un financement sûr, éthique et efficace dans ce secteur vital.
L’équipe Mac-Valuation
 🇬🇧
The Foundation of Real Estate Financing in Africa: Real Estate Expertise
Africa, a continent experiencing rapid economic expansion, is becoming a fertile ground for real estate development. The growing demand for real estate financing is essential to support urban development, industrialization, and business growth. However, a lack of real estate expertise can hinder the financing process, posing a risk to lenders and investors.
Real estate expertise plays a key role in accurately assessing property values. Well-trained professionals, considering market prices, trends, property features, and legal aspects, enable investors to make informed decisions and minimize the risks of overestimation or underestimation.
Real estate financing in Africa, with its specific risks, requires a thorough analysis of the market and real estate projects. This analysis helps lenders and investors understand market nuances, legal and regulatory constraints, and potential economic or political disruptions. Reliable real estate expertise provides additional security for lenders and investors. With an accurate assessment of the property, lenders can evaluate risks and offer tailored loans. Investors, in turn, rely on expert analysis and advice to make informed decisions. This security enhances the confidence of financial actors and promotes the development of real estate financing in Africa.
Real estate expertise also contributes to promoting transparency and trust in the African real estate sector. By providing objective and independent evaluations, real estate experts establish standards for the entire industry, strengthening the confidence of investors, lenders, and other stakeholders. This is essential for stimulating investment and sustainable real estate financing in Africa. Playing a crucial role in real estate financing in Africa, real estate expertise enables accurate property evaluation. Investing in the training of real estate experts in Africa and promoting their role in the financing process is indispensable for stimulating economic growth and sustainable development of the continent.
In conclusion, real estate expertise is a central pillar of real estate financing in Africa, a continent booming economically. The quality and reliability of real estate evaluations, assured by competent and well-trained professionals, are crucial for investor and lender decision-making. These accurate and transparent assessments are indispensable for successfully navigating a rapidly changing market, characterized by unique challenges and growing opportunities. By investing in the development and recognition of real estate expertise in Africa, we can not only ensure the stability and growth of the real estate market but also contribute significantly to the overall economic development of the continent. The future of African real estate largely depends on the ability to train and value the skills of real estate experts, thereby ensuring safe, ethical, and efficient financing in this vital sector.
The Mac-Valuation Team
 

LE MARCHÉ DE LA FORMATION IMMOBILIÈRE ENTRE RÉALITÉ ET UTOPIE

🇫🇷

LE MARCHÉ DE LA FORMATION IMMOBILIERE ENTRE RÉALITÉ ET UTOPIE

Le Marché de la Formation Immobilière en Afrique : Un impératif pour libérer le potentiel du secteur. Le secteur immobilier en Afrique, riche en opportunités, souffre d’une lacune majeure dans la formation des professionnels.

Le boom démographique africain crée une forte demande de compétences immobilières. Les pays africains doivent saisir cette opportunité pour améliorer la formation des acteurs et des étudiants de ce secteur en pleine croissance.

Selon Albert Menelik Tjamag, designer-promoteur immobilier et COO de Global Atom au Cameroun, d’ici 2050, 25% de la population mondiale vivra en Afrique, faisant de l’immobilier un moteur de croissance vital pour répondre à la demande croissante de logements. Cependant, les réglementations actuelles sont rarement appliquées, compromettant la qualité des services immobiliers et entravant la préparation des jeunes apprenants. Renforcer la réglementation et moderniser les programmes de formation est essentiel pour exploiter le potentiel du secteur.

Les enjeux de la formation immobilière en Afrique :

1-Création d’emplois : Le secteur immobilier offre une opportunité unique de lutter contre le chômage des jeunes africains.

2- Développement économique : Le secteur immobilier peut devenir un moteur de croissance économique pour l’Afrique en créant des infrastructures essentielles et en stimulant la richesse nationale.

3- Amélioration des services : Renforcer la réglementation et améliorer la formation garantit des services de meilleure qualité pour les investisseurs et les particuliers.

4- Attractivité des investissements : Une main-d’œuvre bien formée et des services immobiliers de qualité sont essentiels pour attirer des investissements nationaux et étrangers.

Les avantages d’une meilleure formation immobilière en Afrique

Investir dans une meilleure formation immobilière en Afrique présente de nombreux avantages :

1-Création d’emplois : Une main-d’œuvre bien formée stimule l’emploi des jeunes diplômés.

2-Productivité accrue : Les professionnels de l’immobilier bien formés contribuent à la croissance du secteur.

3-Services de qualité : Les clients bénéficient de services immobiliers de meilleure qualité, renforçant ainsi la confiance dans le secteur.

Attractivité des investissements : Une main-d’œuvre bien formée et des services de qualité attirent les investissements nationaux et étrangers.

En conclusion, le secteur immobilier en Afrique présente un potentiel immense, mais il est entravé par un manque crucial de formation. Face à la demande croissante en compétences immobilières, il est impératif que les pays africains renforcent la réglementation et modernisent les programmes de formation pour libérer le plein potentiel de ce secteur. Cela non seulement favorisera la création d’emplois, la croissance économique et l’amélioration des services, mais également attirera les investissements essentiels pour l’avenir de l’Afrique.

 

L’équipe Mac-Valuation
🇬🇧

THE REAL ESTATE TRAINING MARKET BETWEEN REALITY AND UTOPIA

The Real Estate Training Market in Africa: A Necessity to Unleash the Sector’s Potential. The real estate sector in Africa, rich in opportunities, suffers from a major gap in the training of professionals.

The African demographic boom creates a strong demand for real estate skills. African countries must seize this opportunity to enhance the training of professionals and students in this rapidly growing sector.

According to Albert Menelik Tjamag, a real estate designer-promoter and COO of Global Atom in Cameroon, by 2050, 25% of the world’s population will live in Africa, making real estate a vital driver of growth to meet the increasing demand for housing. However, current regulations are rarely enforced, compromising the quality of real estate services and hindering the preparation of young learners. Strengthening regulations and modernizing training programs is essential to harness the sector’s potential.

The Challenges of Real Estate Training in Africa: 1- Job Creation: The real estate sector offers a unique opportunity to combat youth unemployment in Africa.

2- Economic Development: The real estate sector can become an economic growth engine for Africa by creating essential infrastructure and stimulating national wealth.

3- Service Improvement: Strengthening regulations and improving training ensures higher-quality services for investors and individuals.

4- Investment Attractiveness: A well-trained workforce and quality real estate services are essential for attracting domestic and foreign investments.

The Benefits of Better Real Estate Training in Africa:

Investing in better real estate training in Africa offers many advantages:

1- Job Creation: A well-trained workforce stimulates employment for young graduates.

2- Increased Productivity: Well-trained real estate professionals contribute to the sector’s growth.

3- Quality Services: Clients benefit from higher-quality real estate services, thereby enhancing trust in the sector.

4- Investment Attractiveness: A well-trained workforce and quality services attract both domestic and foreign investments.

In conclusion, the real estate sector in Africa has immense potential but is hindered by a critical lack of training. Faced with the growing demand for real estate skills, it is imperative for African countries to strengthen regulations and modernize training programs to unlock the full potential of this sector. This will not only promote job creation, economic growth, and service improvement but also attract essential investments for Africa’s future.

The Mac-Valuation Team

 

 

Le métier de notaire au Cameroun : un défi économique et de Perception

🇫🇷
En tant qu’auxiliaire indispensable de la justice, le métier de notaire, bien que largement reconnu et accessible, fait face à une réalité financière très difficile au Cameroun.
Suite Le notaire, officier ministériel qui contribue à une administration judiciaire efficace, est confronté à une situation professionnelle sélective, voire discriminatoire. Cette profession, pourtant fondée sur des principes libéraux, est associée à des critères restrictifs au même titre que les huissiers et les commissaires-priseurs. Les notaires sont responsables des actes notariés, nécessitant une authentification par une autorité assermentée pour garantir l’intégrité de ces documents en cas de litige devant une juridiction. Il est donc compréhensible que l’État régule l’accès à cette profession.
Le notaire, bien que considéré comme une activité régulière qui rémunère convenablement, diffère des avocats en termes de négociation de rémunération avec le client. Les tarifs notariaux sont fixés par le décret n°95/038 du 28 février 1995 et ne sont pas soumis à la négociation. Cependant, la réalité actuelle de la profession est bien différente de ces normes. Les notaires au Cameroun font face à divers défis, dont la situation financière. De plus en plus, les particuliers choisissent de résoudre leurs problèmes de succession et de gestion de biens sans recourir à un notaire, ce qui diminue leur demande.
Ces dernières années, le métier de notaire au Cameroun a été particulièrement touché par la situation économique difficile, qui a eu des répercussions sur le marché immobilier. Cette situation a entraîné une “guerre des prix et des négociations” entre les notaires et leurs clients de plus en plus rares. Les revenus moyens des notaires ont chuté, et ils ne sont plus au centre de toutes les transactions immobilières comme cela était prévu par les textes. Cela a entraîné une confusion quant au pourcentage attribué au notaire tout au long de la transaction immobilière.
En revanche, en France, la profession notariale est bien organisée. Lors d’achats immobiliers, de successions ou de donations, les frais de notaire sont clairement définis. Ces frais couvrent différents types de dépenses, y compris la rémunération du notaire. Les frais varient en fonction de la valeur du bien, avec un pourcentage décroissant pour les biens de valeur élevée.
L’étroitesse de ce cercle professionnel et son inaccessibilité ne diminuent en rien l’importance du métier de notaire dans la société. Signer un acte sans l’assistance de ce “magistrat du contrat” peut être risqué. Malgré les défis actuels, le rôle du notaire reste essentiel pour garantir la sécurité juridique des transactions.
En résumé, le métier de notaire au Cameroun affronte des enjeux financiers et de perception. Malgré son rôle vital dans la justice et les transactions, les contraintes d’accès et les défis économiques restreignent son impact. Alors que le modèle français démontre une structure transparente, le rôle du notaire au Cameroun demeure crucial malgré les obstacles. Repenser son accessibilité et sa valeur pourrait restaurer son rôle dans le paysage juridique du pays.

 

L’équipe Mac-Valuation
🇬🇧
As an indispensable auxiliary of justice, the notary profession, despite being widely recognized and accessible, faces a very challenging financial reality in Cameroon.
Notaries, who serve as ministerial officers contributing to an efficient judicial administration, confront a selective, even discriminatory professional situation. This profession, founded on liberal principles, is subject to restrictive criteria, much like bailiffs and auctioneers. Notaries are responsible for notarial acts, requiring authentication by a sworn authority to ensure the integrity of these documents in case of disputes before a court. Therefore, it is understandable that the state regulates access to this profession.
Although the notary profession is considered a regular activity that pays well, it differs from lawyers in terms of negotiating fees with clients. Notarial fees are set by decree no. 95/038 of February 28, 1995, and are not subject to negotiation. However, the current reality of the profession is quite different from these standards. Cameroonian notaries face various challenges, including their financial situation. Increasingly, individuals choose to handle their succession and property management issues without involving a notary, reducing the demand for their services.
In recent years, the notary profession in Cameroon has been particularly affected by the difficult economic situation, which has had repercussions on the real estate market. This situation has led to a “price and negotiation war” between notaries and their increasingly rare clients. Average notary incomes have declined, and they are no longer central to all real estate transactions as originally envisioned by the regulations. This has led to confusion regarding the percentage allocated to the notary throughout the real estate transaction.
In contrast, in France, the notarial profession is well-organized. For real estate purchases, successions, or donations, notary fees are clearly defined. These fees cover various expenses, including the notary’s remuneration. Fees vary based on the property’s value, with a decreasing percentage for high-value properties.
The exclusivity of this professional circle and its inaccessibility do not diminish the importance of the notary profession in society. Signing a contract without the assistance of this “contract magistrate” can be risky. Despite current challenges, the role of the notary remains essential in ensuring the legal security of transactions.
In summary, the notary profession in Cameroon faces financial and perceptual challenges. Despite its vital role in justice and transactions, access constraints and economic challenges limit its impact. While the French model demonstrates a transparent structure, the role of notaries in Cameroon remains crucial despite obstacles. Reevaluating their accessibility and value could restore their role in the country’s legal landscape.
The Mac-Valuation Team

 

 

Une recrudescence Alarmante d’effondrement Souligne l’Importance des Normes de Construction

🇫🇷
Effondrement d’immeubles : Une recrudescence alarmante souligne l’Importance du respect des normes de Construction
Suite aux récents effondrements survenus dans les villes de Douala et de Ngaoundéré, la sonnette d’alarme retentit une fois de plus concernant le respect des normes en matière de construction. Dans ces deux cas, les autorités compétentes ont pointé du doigt le non-respect des normes de construction. Pourtant, à chaque tragédie, les causes potentielles sont rapidement identifiées : non-conformité aux normes, utilisation de matériaux de mauvaise qualité, recours à une main-d’oeuvre non qualifiée, absence de permis de construire, entre autres.
Il y a seulement quelques jours, peu de temps après le dernier effondrement d’immeuble survenu le 30 juillet 2023 à Douala – heureusement, cette fois-ci, sans faire de victimes – la Ministre de l’Habitat et du Développement Urbain (MINHDU), Célestine Ketcha Courtes, a abordé lors d’une conférence de presse la réglementation en vigueur pour la construction de bâtiments dans les différentes métropoles du pays. Elle a souligné que le Cameroun dispose d’une législation solide concernant la supervision des opérations de construction, principalement axées sur l’habitat.
La loi du 21 avril 2004, qui régit l’urbanisme au Cameroun, précise dans ses articles 18 et 19 que les maires des communes ont le pouvoir d’assurer la diffusion et l’application des dispositions relatives aux règles générales d’urbanisme et de construction. Dans le but de
prévenir la construction de bâtiments présentant des risques, l’article 125 de la même loi exige la démolition formelle des structures en cas de risque d’effondrement. Toutes ces réglementations mettent directement en lumière la responsabilité des maires.
Les changements climatiques pourraient également contribuer à ces catastrophes, une réalité souvent sous-estimée par la population. Les effets du climat de plus en plus instable accroissent les risques de phénomènes naturels de cette nature. Ainsi, il incombe aux autorités administratives d’organiser des campagnes de sensibilisation pour informer les citoyens de leurs responsabilités en tant qu’acteurs du contrôle de la construction. Dans certains quartiers de la capitale, des comités de vigilance ont déjà été mis en place dans cette optique, visant à prévenir de futurs drames de ce genre.
En conclusion, la recrudescence des effondrements d’immeubles met en évidence l’urgence de respecter rigoureusement les normes de construction, et appelle à une sensibilisation accrue de tous les acteurs impliqués dans le processus de construction.

 

L’équipe Mac-Valuation
🇬🇧
Building Collapses: Alarming Increase Highlights the Importance of Adhering to Construction Standards
Following recent building collapses in the cities of Douala and Ngaoundéré, the alarm bells are ringing once again regarding compliance with construction standards. In both cases, the authorities have pointed to non-compliance with construction standards. However, with each tragedy, potential causes are quickly identified: non-compliance with standards, the use of substandard materials, the employment of unskilled labor, lack of building permits, among others.
Just a few days ago, shortly after the latest building collapse on July 30, 2023, in Douala – fortunately, this time without casualties – the Minister of Housing and Urban Development (MINHDU), Célestine Ketcha Courtes, addressed the regulations in place for building construction in various cities across the country during a press conference. She emphasized that Cameroon has robust legislation concerning the supervision of construction operations, primarily focused on housing.
The law of April 21, 2004, governing urban planning in Cameroon, stipulates in articles 18 and 19 that municipal mayors have the authority to disseminate and enforce provisions related to general urban planning and construction rules. In order to prevent the construction of buildings posing risks, article 125 of the same law requires the formal demolition of structures in case of collapse risk. All these regulations directly highlight the responsibility of mayors.
Climate change could also contribute to these disasters, a reality often underestimated by the population. The effects of increasingly unstable climate conditions increase the risks of such natural events. Therefore, it is the responsibility of administrative authorities to organize awareness campaigns to inform citizens of their roles as construction control stakeholders. In some neighborhoods of the capital, vigilance committees have already been established for this purpose, aiming to prevent future tragedies of this kind.
In conclusion, the surge in building collapses underscores the urgency of strictly adhering to construction standards and calls for increased awareness among all stakeholders involved in the construction process.
The Mac-Valuation Team

 

LE MARCHÉ RÉSIDENTIEL D’AFRIQUE CENTRALE GAGNE EN POPULARITÉ

🇫🇷
LE MARCHÉ RÉSIDENTIEL D’AFRIQUE CENTRALE GAGNE EN POPULARITÉ
Après de nombreuses années d’ombre, le marché de l’immobilier résidentiel redevient une activité lucrative pour les investisseurs institutionnels. Ces dernières décennies ont vu un regain d’intérêt pour l’immobilier résidentiel, principalement dû à la crise sanitaire de la COVID-19, qui a mis en avant sa résilience et sa sécurité. Contrairement au marché
tertiaire, l’immobilier résidentiel s’est rapidement imposé et est devenu un secteur très attractif.

Plusieurs facteurs expliquent la force de ce marché et le retour enthousiaste des investisseurs institutionnels. Tout d’abord, l’immobilier résidentiel est considéré comme un
investissement sûr, offrant un certain nombre d’avantages financiers, notamment des revenus stables et réguliers. Il permet également une facilité de liquidité et présente un fort
potentiel de plus-value. En raison de sa fragmentation, avec une multitude de vendeurs et d’acheteurs, l’immobilier résidentiel stimule le désir permanent d’investir dans des
logements. Pour une stratégie de diversification de portefeuilles, l’immobilier résidentiel offre de belles opportunités, car un investisseur peut facilement louer ou céder un bien immobilier en bloc, ou encore le subdiviser et gérer chaque lot séparément, permettant ainsi de
maintenir un bon rapport entre gestion des risques et rentabilité.

En se focalisant sur le marché résidentiel, il est évident que certains biens présentent plus d’avantages en matière d’investissement que d’autres secteurs de l’immobilier. Il est donc impératif que les futurs investisseurs prennent en compte des critères incontournables, tels que le type de logements, la localisation du bien, la liquidité des actifs et la situation locative.
L’immobilier joue un rôle essentiel dans le contexte de la poussée démographique, et il devient un facteur clé du développement économique d’un pays. En Afrique, par exemple, la demande pour des résidences haut de gamme est en forte croissance, en raison de l’amélioration des conditions de vie de la classe moyenne dans certains pays du continent.
Ces demandes de plus en plus exigeantes offrent de belles occasions d’investissements immobiliers dans le secteur du logement. Ainsi, le marché immobilier résidentiel occupe une
place de choix dans un secteur en constante progression.

En conclusion, le marché résidentiel d’Afrique centrale renaît, attirant l’intérêt des investisseurs institutionnels grâce à sa résilience. Offrant des avantages financiers tels que
des revenus stables et une liquidité accrue, ce secteur prometteur permet une diversification efficace des portefeuilles d’investissement. La demande croissante de résidences haut de gamme souligne l’amélioration des conditions de vie de la classe moyenne dans la région,
ouvrant ainsi de nouvelles opportunités d’investissement immobilier. Avec une gestion prudente des risques et une analyse minutieuse des opportunités, le marché résidentiel
d’Afrique centrale offre un potentiel de croissance économique significatif pour la région.

L’équipe Mac-Valuation
🇬🇧
THE CENTRAL AFRICAN RESIDENTIAL MARKET GAINS POPULARITYAfter many years in the shadows, the residential real estate market is once again becoming a lucrative venture for institutional investors. Over the past decades, there has been a renewed interest in residential real estate, primarily driven by the COVID-19 pandemic, which highlighted its resilience and security. In contrast to the tertiary market, residential real estate quickly asserted itself and has become a highly attractive sector.
Several factors explain the strength of this market and the enthusiastic return of institutional investors. First and foremost, residential real estate is considered a safe investment, offering a number of financial advantages, including stable and regular income. It also allows for ease of liquidity and presents strong potential for appreciation. Due to its fragmentation, with a multitude of sellers and buyers, residential real estate fuels a continuous desire to invest in housing. For portfolio diversification strategies, residential real estate offers excellent opportunities as an investor can easily rent or sell a property as a whole, or subdivide it and manage each unit separately, thus maintaining a good balance between risk management and profitability.
Focusing on the residential market, it is evident that certain properties offer more investment advantages than other real estate sectors. It is therefore imperative for prospective investors to consider crucial criteria, such as the type of housing, property location, asset liquidity, and rental situation. Real estate plays an essential role in the context of population growth and becomes a key factor in the economic development of a country. In Africa, for example, the demand for upscale residences is on the rise due to the improving living conditions of the middle class in certain countries on the continent. These increasingly demanding requests provide excellent opportunities for real estate investments in the housing sector. Thus, the residential real estate market occupies a prominent position in an ever-progressing sector.
In conclusion, the Central African residential market is experiencing a resurgence, attracting the interest of institutional investors due to its resilience. Offering financial advantages such as stable income and increased liquidity, this promising sector allows for effective portfolio diversification. The growing demand for upscale residences underscores the improved living conditions of the middle class in the region, thereby opening new real estate investment opportunities. With careful risk management and meticulous analysis of opportunities, the Central African residential market offers significant potential for economic growth in the region.
 
The Mac-Valuation Team

 

L’IMMOBILIER TERTIAIRE : UN MARCHÉ PORTEUR EN AFRIQUE

🇫🇷
L’IMMOBILIER TERTIAIRE : UN MARCHÉ PORTEUR EN AFRIQUE
L’immobilier tertiaire émerge comme un secteur prometteur en Afrique, témoignant de l’évolution rapide des économies du continent. Avec une urbanisation croissante et une
classe moyenne en expansion, le marché immobilier tertiaire présente des opportunités attrayantes pour les investisseurs et les entreprises qui cherchent à s’établir sur ce continent en plein essor.
Le secteur immobilier tertiaire comprend des biens destinés aux activités de bureau, de commerce de détail, d’hôtellerie, de santé et d’autres services. Aussi appelé immobilier
d’entreprises, il englobe également l’achat, la vente et la location de biens immobiliers liés aux activités de services, se distinguant ainsi du marché résidentiel axé sur l’habitation.
Ce secteur joue un rôle essentiel dans le développement économique des pays africains en offrant un environnement propice aux affaires. Les grandes métropoles d’Afrique centrale sont devenues des pôles attractifs pour les investissements en immobilier tertiaire.
L’une des principales raisons de l’essor de ce marché est la forte croissance démographique du continent africain. Avec une population jeune et en augmentation, la demande pour des espaces de travail modernes et adaptés aux nouvelles technologies est en constante augmentation. Les entreprises locales et internationales recherchent activement des locaux bien équipés pour s’établir sur le marché africain en pleine expansion.
En outre, les gouvernements africains accordent une importance croissante au développement des infrastructures et à la création de zones économiques spéciales, ce qui stimule davantage l’essor de l’immobilier tertiaire. Ces efforts visent à attirer les investissements étrangers, à stimuler la croissance économique et à créer des emplois.
Cependant, malgré le potentiel lucratif de l’immobilier tertiaire en Afrique, des défis subsistent. La pandémie mondiale de 2019-2021 a eu des répercussions sur pratiquement tous les domaines, y compris le marché tertiaire. En raison des mesures sanitaires visant à limiter la propagation de la maladie, la plupart des travailleurs actifs ont été temporairement placés en télétravail, entraînant une désertion des bureaux. Cette situation a entraîné une baisse significative du volume d’investissement dans les bureaux, que ce soit pour l’achat ou la location, affectant ainsi les professionnels du secteur.
Malgré les difficultés rencontrées pendant cette période de crise sanitaire, certains investisseurs ont saisi l’opportunité pour élaborer de nouvelles stratégies adaptées aux
nouveaux besoins du marché. Les vents contraires qui ont plané sur ce secteur n’ont pas compromis ses performances économiques. Après la crise sanitaire, l’immobilier tertiaire a
enregistré une rentabilité intéressante de 4% par an, une amélioration attribuée à l’émergence de nombreuses startups qui recherchent des locaux adaptés à leurs activités.
Les gains potentiels dans ce secteur surpassent effectivement ceux réalisés dans l’immobilier résidentiel.
Après deux années moroses, le marché tertiaire amorce désormais un démarrage prometteur, avec une augmentation significative des offres prévue pour les années à venir.
Les investisseurs semblent être confiants quant à l’évolution positive de ce secteur porteur.
En conclusion, l’immobilier tertiaire en Afrique offre un marché porteur pour les investisseurs et les entreprises cherchant à s’implanter dans une région dynamique et en croissance rapide. Avec une population jeune en augmentation et une urbanisation croissante, le secteur de l’immobilier tertiaire est voué à jouer un rôle clé dans l’évolution économique du continent africain. Les nouvelles stratégies mises en place et l’essor des startups ont
contribué à dynamiser le marché, faisant de l’immobilier tertiaire un secteur d’investissement attractif pour les acteurs économiques en Afrique.

L’équipe Mac-Valuation
🇬🇧
TERTIARY REAL ESTATE: A PROMISING MARKET IN AFRICA
Tertiary real estate is emerging as a promising sector in Africa, reflecting the rapid evolution of the continent’s economies. With increasing urbanization and an expanding middle class, the tertiary real estate market presents attractive opportunities for investors and businesses looking to establish themselves in this burgeoning continent.
The tertiary real estate sector encompasses properties intended for office activities, retail, hospitality, healthcare, and other services. Also referred to as commercial real estate, it also includes the purchase, sale, and leasing of properties related to service activities, distinguishing it from the residential market focused on housing. This sector plays a vital role in the economic development of African countries by providing a conducive business environment. The major metropolises of central Africa have become attractive hubs for tertiary real estate investments.
One of the main drivers of this market growth is the continent’s strong population growth. With a young and increasing population, the demand for modern workspaces tailored to new technologies is steadily rising. Both local and international companies are actively seeking well-equipped spaces to establish themselves in the rapidly expanding African market.
Furthermore, African governments are increasingly emphasizing infrastructure development and the creation of special economic zones, further fueling the growth of tertiary real estate. These efforts aim to attract foreign investments, stimulate economic growth, and create jobs.
However, despite the lucrative potential of tertiary real estate in Africa, challenges remain. The global pandemic of 2019-2021 had repercussions on almost every sector, including the tertiary market. Due to health measures aimed at limiting the spread of the disease, most active workers were temporarily placed in remote work, leading to an abandonment of offices. This situation resulted in a significant decrease in office investment volume, whether for purchase or leasing, thus affecting industry professionals.
Despite the difficulties faced during this period of health crisis, some investors seized the opportunity to develop new strategies tailored to the market’s new needs. The headwinds that affected this sector did not compromise its economic performance. After the health crisis, tertiary real estate recorded an interesting annual profitability of 4%, an improvement attributed to the emergence of numerous startups seeking suitable premises for their activities. The potential gains in this sector indeed surpass those achieved in residential real estate.
After two difficult years, the tertiary market is now showing promising signs of recovery, with a significant increase in offerings expected in the coming years. Investors appear to be confident in the positive evolution of this promising sector.
In conclusion, tertiary real estate in Africa offers a promising market for investors and businesses seeking to establish themselves in a dynamic and rapidly growing region. With a growing young population and increasing urbanization, the tertiary real estate sector is destined to play a key role in the economic evolution of the African continent. The implemented new strategies and the rise of startups have helped energize the market, making tertiary real estate an attractive investment sector for economic players in Africa.
 
The Mac-Valuation Team

La société civile immobilière au service de l’économie sénégalaise

La société civile immobilière au Sénégal se démarque dans le secteur immobilier en Afrique.

L’immobilier au Sénégal devient rapidement une source de revenus incontournable et sûre.
Cependant, une étude approfondie des jeux et enjeux de ce type d’investissement devrait être réalisée préalablement, notamment par la classe moyenne qui est soucieuse du profit tiré de ses économies. La SCI intervient alors comme une passerelle inévitable qui permet au client de faire le point sur les aspects juridiques, fiscaux et financiers du projet en cours,
afin d’anticiper les risques potentiels. Opter pour une SCI au Sénégal représente par conséquent une valeur sûre dans la gestion d’un patrimoine.

Le Code de la construction sénégalaise de 2009 (COOC) et l’Acte uniforme de l’OHADA mentionnent deux formes de SCI :
● La SCI de vente : elle accompagne les particuliers, les propriétaires et même les professionnels dans la gestion de leurs biens immobiliers.
● La SCI d’attribution : elle concerne deux associés ou plus qui entreprennent l’acquisition ou la construction de biens immobiliers.
Selon le Code des obligations civiles et commerciales (COCC), la société civile immobilière est soumise à la formalité de consensualisme. Sa création est donc le résultat d’un consentement manifesté par la volonté de deux associés ou plus, réunissant des fonds et exerçant la même activité dans leurs intérêts propres. Pour créer une SCI, il faut respecter
les statuts qui font référence aux dispositions contractuelles suivantes :
● Un minimum de 2 associés.
● Un objet social (civil et immobilier) qui est non commercial et reste inchangé tout au
long de la vie de la société.
● Un capital social fixé librement par les associés.
● Les apports qui constituent le capital social de la SCI. Selon l’article 768 du COCC, il
est possible de faire des apports en nature ou en industrie.
● Le siège social.
● Les règles de fonctionnement.

Ces informations sont ensuite transmises au service des impôts et domaines où elles sont enregistrées. La formalité de création se termine au niveau du greffier du tribunal de commerce, suivi d’une publication officielle.
La gestion d’une SCI au Sénégal peut être confiée à un administrateur externe à la SCI, nommé préalablement ou élu par les associés. La structure peut également opter pour un système de cogérance.
La constitution d’une SCI au Sénégal présente des avantages fiscaux, notamment :
● La possibilité, selon le Code général des impôts, pour les SCIs d’être assujetties à
l’impôt sur les sociétés (IS).
De plus, dans le cas où la société est le fruit d’une collaboration entre les associés, chacun peut bénéficier d’une fiscalité avantageuse. Il est important de noter que le taux d’imposition sur les sociétés (IS) dépend du chiffre d’affaires réalisé, mais il est fixe. En revanche, pour l’impôt sur le revenu (IR), le taux est progressif. Ainsi, une société civile immobilière peut choisir délibérément son régime fiscal. En Côte d’Ivoire, les sociétés civiles immobilières ont généralement un régime fiscal basé sur l’IR.
En ce qui concerne la transmission, la donation successive est possible dans le cadre d’une SCI. En effet, chaque associé peut transmettre ses parts à ses héritiers. Dans ce cas, les parts intègrent directement le patrimoine de l’associé et font partie de l’actif successoral.
Selon la loi sur la construction, la durée de vie d’une SCI au Sénégal est de 99 ans. Au-delà de cette période, la SCI est dissoute automatiquement. De plus, si un associé s’approprie un bien ou détient tous les bénéfices, cela peut également entraîner la dissolution de la société.
Cette dissolution peut être prononcée par voie judiciaire ou à la suite d’une décision prise entre les associés.
Le développement socio-économique du Sénégal à travers le secteur immobilier est désormais accessible à tous les acteurs impliqués dans ce type de projet d’investissement.

L’équipe Mac-Valuation

🇬🇧

Real Estate Civil Society Serving the Senegalese Economy.

The civil society in Senegal stands out in the real estate sector in Africa.

Real estate in Senegal is quickly becoming an essential and secure source of income. However, a thorough study of the intricacies and challenges of this type of investment should be conducted beforehand, especially by the middle class, who are concerned about maximizing returns from their savings. In this context, the Civil Society Immobilière (SCI) becomes an inevitable bridge that allows clients to assess the legal, tax, and financial aspects of their ongoing projects, thus anticipating potential risks. Opting for an SCI in Senegal represents a secure value in asset management.

The Senegalese Construction Code of 2009 (COOC) and the OHADA Uniform Act mention two forms of SCI:

  • SCI for sale: It assists individuals, property owners, and even professionals in managing their real estate assets.
  • SCI for attribution: It concerns two or more partners undertaking the acquisition or construction of real estate assets.

According to the Code of Civil and Commercial Obligations (COCC), the SCI is subject to the formality of consensus. Its establishment is the result of the consent expressed by the will of two or more partners who contribute funds and engage in the same activity in their own interests. To create an SCI, the following contractual provisions must be respected:

  • A minimum of 2 partners.
  • A social purpose (civil and real estate) that is non-commercial and remains unchanged throughout the life of the company.
  • The freely set social capital by the partners.
  • Contributions that constitute the SCI’s social capital. According to Article 768 of the COCC, contributions can be made in cash, in kind, or in industry.
  • The registered office.
  • Operating rules.

This information is then transmitted to the tax and domain service for registration. The registration process concludes with the commercial court clerk’s office, followed by an official publication.

The management of an SCI in Senegal can be entrusted to an external administrator, appointed or elected by the partners. The structure can also opt for a co-management system.

The establishment of an SCI in Senegal offers tax advantages, including:

  • The possibility, according to the General Tax Code, for SCIs to be subject to corporate tax (IS).

Furthermore, in cases where the company is the result of collaboration between partners, each can benefit from advantageous taxation. It is important to note that the corporate tax rate (IS) depends on the turnover generated but remains fixed. On the other hand, for income tax (IR), the rate is progressive. Thus, a real estate civil society can deliberately choose its tax regime. In Côte d’Ivoire, real estate civil societies generally have a tax regime based on income tax (IR).

Regarding transmission, successive donation is possible within an SCI. Indeed, each partner can transfer their shares to their heirs. In this case, the shares directly become part of the partner’s assets and form part of the estate. According to the construction law, the lifespan of an SCI in Senegal is 99 years. Beyond this period, the SCI is automatically dissolved. Additionally, if a partner appropriates a property or holds all the profits, it can also lead to the dissolution of the company. This dissolution can be pronounced through legal means or by a decision taken among the partners.

The socio-economic development of Senegal through the real estate sector is now accessible to all stakeholders involved in this type of investment project. The Mac-Valuation team is committed to providing professional expertise in real estate valuation and advisory services to ensure informed decisions and successful outcomes.

Mac-Valuation team